13 Jan L’ histoire de l’Hotel les Violettes
C’est en 1924 que la ville de Soultz construit à l’aide des dommages de guerre, une maison forestière en grès des Vosges sur les hauteurs du site marial de Thierenbach.
Quelques mois après, elle devient un lieu de restauration géré par la famille Ebelmann. Les randonneurs et les habitués peuvent y faire une halte pour y consommer un casse-croûte. En 1969, la ville de Soultz décide de vendre la bâtisse pour assurer la rénovation de sa mairie.
Une première étoile pour « Violette »
C’est 1979 que Mr et Mme Munsch achètent le bien remis en vente pour le transformer en un hôtel comportant 19 chambres et un restaurant gastronomique qui obtient 10 ans plus tard 1 étoile au guide Michelin. cette distinction permet à l’établissement de développer son rayonnement au-delà du département. Son appellation “Les Violettes” n’est pas lié comme nous pourrions le penser à la fleur ni à la couleur, mais au second prénom de mme Munsch.
Un lieu de rêve
En l’an 2000, la famille Munsch décide de prendre leur retraite. “Les Violettes” sont à vendre. C’est au cours de cette même année, que Philippe Bosc, connu internationalement dans le monde de la coiffure à domicile avec 3500 employés, décide sans hésitations d’acquérir le bien en vue d’une rénovation qui durera 3 années. cet enfant du pays est profondément charmé par la beauté du site.
Son projet : faire de cet endroit idyllique un lieu d’accueil de rêve ! Parallèlement, Philippe Bosc rachète à la famille Vonesch l’hôtel “Les Iris” situé à côté de la basilique de Thierenbach. L’infrastructure est entièrement transformée par l’acquéreur qui lui donne son nom en 2003 : La ferme des moines. Le restaurant est décoré en prenant en compte l’historique du site marial et l’esprit monastique datant de 1135. Un centre de séminaires et de banquets d’une capacité d’accueil totale de 400 places voit également le jour. Ce qui en fait un site unique en Alsace, doté de surcroît d’un cachet exceptionnel et une originalité avérée.
L’ouverture
Après de nombreuses transformations, l’hostellerie “ Les Violettes” ouvre ses portes en 2003. Dans un cadre merveilleusement restauré, y règne une ambiance chaleureuse, cosy et authentiquement alsacienne. La décoration est conçue de pièces sacrées, de tableaux de maîtres, d’objets divers des arts et traditions populaires ainsi que de meubles anciens datant du XVIIème siècle. Des statues du XIIIème siècle ornent l’accueil, notamment celle de la vierge à l’enfant de Strasbourg puis une autre de Saint-Benoît.
Une décoration raffinée
Cossues et raffinées, les 9 chambres “romantiques Alsaciennes” allient parfaitement le prestige d’autrefois et le confort d’aujourd’hui. Elles constituent d’agréables cocons intimes, délicieusement aménagées ; literie raffinées, tissus recherchés, sièges et baldaquins coordonnés, voilages chatoyants, cheminées, parquet patinés sont autant de touches d’élégance.
Un espace wellness et l’ouverture de la Gentilhommière
Fin de l’année 2006, Philippe Bosc décide d’adjoindre à l’établissement un Spa d’une superficie de 1000m2. Une fermeture momentanée de l’Hostellerie est programmée dès mars 2007 et la première pierre du projet est posée par Tomy Ungerer, parrain des Violettes.
Simultanément, Philippe Bosc entrevoit la construction de 2 nouveaux bâtiments comportant 40 chambres supplémentaires. Puis, en novembre 2012 la rénovation complète du bâtiment annexe extérieur la Gentilhommière.
La construction en image